La modélisation utilisée pour définir les zones de bruit aboutit à une réduction de l'aire de ces zones dans le nouveau PEB par rapport au précédent, malgré une prévision d'augmentation du nombre de vols. Il faut prévoir de contrôler le modèle avec des mesures réelles incontestables prises en continu et pour cela créer un maillage suffisant de capteurs de bruit et mettre aussi en place un maillage de capteurs de la pollution atmosphérique. Il faut aussi aller vers une vraie réduction des nuisances en adoptant les règles les mieux disantes, par exemple celles de l'OMS. Je note aussi une absence de prise en compte des zones de cumul de bruit, le bruit de l'aéroport et le bruit routier, pourtant l'impact sur la santé est bien majoré.